Quand faut-il penser à la rénovation de sa toiture ?
La majeure partie de vos dépenses est sans doute causée par les rénovations nécessaires pour que votre maison ait toujours un bel aspect. Cela inclut également la toiture, et concernant celle-ci, quelques signes vous feront savoir que des réparations doivent être faites. Les lignes qui suivent vous indiqueront ces signes afin que vous puissiez déterminer par vous-même l’état de votre toiture.
Des problèmes d’étanchéité à vue d’œil
Après avoir constaté des fuites ou des moisissures venant du plafond, vous commencez à vous demander si une rénovation de toiture serait à inclure dans votre budget. Pour vous expliquer cela, il arrive que de puissantes intempéries aient cassé des tuiles ou encore des rigoles (on parle également de chéneaux qui se trouvent au-dessous d’un toit et qui dirigent les eaux de pluie vers un conduit de descente).
En tout cas, veillez à faire appel à un spécialiste qui pourra vous faire un diagnostic précis sur l’état de la toiture. Le professionnel pourra identifier tout ce qui a pu causer son état, par exemple, il est capable de trouver des attaques difficiles à distinguer, venant de termites ou encore de champignons.
Une nécessaire modification de l’isolation de la maison
Récemment, vous avez constaté une diminution de quantité importante d’énergie au niveau de votre toit. Vous en déduisez que la maison est mal isolée, et donc une seule solution est pour vous envisageable : évaluer son isolation en entier. Les travaux ont souvent pour objet de mettre en place des panneaux d’isolants au-dessous des rampants de la toiture, ou également de procéder de manière à ce que l’isolation se fasse par l’extérieur. La dernière option se fait avant la mise en place des composants du revêtement. Non seulement cette technique permet de faire une rénovation de la toiture au niveau de l’isolation, mais elle très performante.
L’ancienneté du toit
Prévoyez toujours d’éventuelles rénovations de votre toit, et cela en fonction de son âge. Sa durée moyenne est de 20 à 25 ans, mais si son entretien est régulier et qu’elle a été rénovée récemment, sa durée sera plus longue. Néanmoins, étant donné que cette règle n’est pas générale pour tous les toits, on vous conseille de recourir aux services d’un professionnel. Celui-ci pourra inspecter et montrer son expertise sur le sujet, surtout si le toit a été installé depuis près d’un quart de siècle.
Constatation de bardeaux absents ou abîmés
Les différentes intempéries ou encore le temps lui-même peuvent détruire les bardeaux ou encore les changer de place. Pour connaitre l’étendue des dégâts, appelez un spécialiste des toitures pour qu’il puisse établir un constat à faire. Ce professionnel pourra d’ailleurs vous conseiller sur les questions d’éventuelles rénovations nécessaires à faire si les bardeaux ont changé de place, mais par contre, si les bardeaux ont été abimés, là une action rapide est de rigueur.
Plafond intérieur : des taches visibles
Si vous avez commencé à remarquer la présence de grosses taches brunes sur le plafond, c’est le signe que votre toiture ne fonctionne plus correctement. Avec un tel signal, une rénovation de toiture devient alors une urgence dans ce cas-là. En effet, à ce niveau, l’eau a déjà réussi à couler entre les crevasses qui sont logées sur la surface du toit, ce qui pourrait constituer un danger pour votre vie. Entamez les réparations dès que possible.
Gouttière remplie de détritus
Pour faire simple, les bardeaux suivent le même cycle que l’être humain qui perd petit à petit ses cheveux ou ses dents, etc. Et de leur côté, les bardeaux perdent en morceaux. Une inspection de gouttière doit alors se faire régulièrement. Ce faisant, il faut examiner parmi les détritus s’ils contiennent des morceaux de bardeaux. Le cas échéant, sachez qu’il vous faudra rénover la toiture. Considérez cette situation comme un état d’urgence, alors ne perdez pas votre temps avant de vous décider à engager la procédure. D’autant que plus vous attendez, plus les dommages seront conséquents et les frais encore plus élevés.
